Poésie
Ceci est ma vie que je partage avec vous.ce receuil je l'ai fait avec tout mon courage et mon bon sens.Jes souhaite que le plus de personne puisse le lire afin de pouvoir se réalisé et de s'apercevoir qu'ils ou qu'elles ne sont pas seul à vivre avec le fardeau d'une dure enfance.Peut-être qu'à vous aussi le goût d'écrire vous viendras et atténuera votre souffrance.bisouxxx et bonne lecture.
samedi 6 novembre 2010
lundi 1 novembre 2010
Poésie: pensée glacée
Poésie: pensée glacée: "PENSÉES GLACÉE pour les femmes aux prises avec des hommes violents Jongler avec le paradis et l'enfer peur éternel au bout de cette Te..."
ENFER
En détresse dans le jardin des horreurs
Captive dans le désarroi de ton coeur.
Condamné au châtiment de tes gestes.
Dévorée par l'usure de ton langage infeste.
Dominance apparente.
Soumission jusqu'à la démence.
Illusion trompeuse.
Image sociale heureuse
En mon âme puanteur infecte.
Car morte est mon amulette.
Trop de souffrance sur cette Terre.
Que même le diable me fermerait ses barrières.
En détresse dans le jardin des horreurs
Captive dans le désarroi de ton coeur.
Condamné au châtiment de tes gestes.
Dévorée par l'usure de ton langage infeste.
Dominance apparente.
Soumission jusqu'à la démence.
Illusion trompeuse.
Image sociale heureuse
En mon âme puanteur infecte.
Car morte est mon amulette.
Trop de souffrance sur cette Terre.
Que même le diable me fermerait ses barrières.
dimanche 18 avril 2010
ENFANCE
ENFANCE.
De famille en famille.
Les fragments de mon enfance s’éparpillent.
Des souvenirs, volatilisés.
Jeunesse, effacée.
Incrusté dans mon être, insécurité et angoisse.
À chaque crépuscule, je me lève avec la poisse.
L’obscurité se pointe le bout du nez.
Une effusion d’effroi adopte toute ma lucidité.
Ma mère me manque depuis toujours.
Autour de sa tête trop de vautours.
Rétrogradé de la société.
Régulièrement mise de côté.
Mon bon entrain et mes joies continuellement étouffées.
Habité par le désir d’être aimé.
De mauvaises personnes, j’ai rencontré.
Aujourd’hui, je suis mariée.
Or, j’ai toujours le doute d’être mal aimée.
De famille en famille.
Les fragments de mon enfance s’éparpillent.
Des souvenirs, volatilisés.
Jeunesse, effacée.
Incrusté dans mon être, insécurité et angoisse.
À chaque crépuscule, je me lève avec la poisse.
L’obscurité se pointe le bout du nez.
Une effusion d’effroi adopte toute ma lucidité.
Ma mère me manque depuis toujours.
Autour de sa tête trop de vautours.
Rétrogradé de la société.
Régulièrement mise de côté.
Mon bon entrain et mes joies continuellement étouffées.
Habité par le désir d’être aimé.
De mauvaises personnes, j’ai rencontré.
Aujourd’hui, je suis mariée.
Or, j’ai toujours le doute d’être mal aimée.
vendredi 9 avril 2010
Laisser vos commentaires
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Bonjour, il serait apprécié que vous laissez votre commentaire bon ou pas bon je suis capable de le prendre. Merci ;)
mardi 6 avril 2010
VICTIME D'UN AGRESSEUR
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Froide nuit.
Tu es venu me chercher dans mon lit.
Si jeune j'étais.
Point je me doutais.
Dans la baignoire tu t'es assis.
Tu m'y as fait entrer sans bruit.
Trop gêner, pour te regarder.
J'ai fixé ton nez.
L'eau bouillante, je me rappelle.
Et les sales murmures de tes mots qui me trouvaient belle.
Tu m'as emprisonné sur ton corps, ma tête dans ton cou.
De grosses larmes coulaient sur mes joues.
Le savon,tu as pris.
Sur ma chair tu l'as enduit.
Tu pénètres ce monstre
Pourtant avec mes Cries, tu savais que j'étais contre.
Soudainement,une douleur intense.
Maintenant, je sais à quoi tu penses.
Je gémis de peur.
Je gémis de douleur.
Tu m'as fait jurer de ne rien dire à qui que ce soit.
Mais moi j'ai fait des x avec mes doits.
Tu m'as légué une vie de débauchée.
Car par tes gestes, je suis marquée.
J'ai fini par pardonner.
Pour pouvoir me réaliser.
J'ai pris du temps.
Car le temps à le temps.
lundi 5 avril 2010
HAÌTI
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HAITI
Pourquoi tant de catastrophes?
Tous les gens en apostrophent,
Ils airent ici et là.
Perdus par millier au travers des cadavres et des rats.
Ils pleurent leurs amis (es) et leurs familles.
Sans prévenir, la mort était au rendez-vous.
Venu des abysses, fauchés des milliers de personnes, il ira jusqu'au bout.
Chagrin, colère et désespoir.
Deux cent mille individus balayés de la carte ce soir.
La terre nous jette, un après un, même par millier.
Comme si nous étions des parasites à éliminer.
Elle éternue et se fissure de toute part et d'autre.
L'angoisse s'installe en mes descendants et aux vôtres.
Voici que demain, sera pire pour notre génération.
Notre planète finira par avoir raison.
Ont ne peux se battre contre ses bouleversements.
C'est malheureux, car ils peuvent frapper n'importe où à tout instant.
Personne n’est à l'abri en ce moment.
Mais aujourd'hui, toutes mes pensées sont pour Haïti.
Plus forts ils seront.
Ensemble avec force, pierre par pierre,
ils rebâtiront.
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